on dirait le sud

Été 2022 : l’omniprésence du soleil, la chaleur accablante, la lumière aveuglante transforment les paysages.
Une autre planète se dessine.
Photographies réalisées lors d'un stage des RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE d'Arles avec
Bertrand Meunier .(Tendance floue)

la cité des ombres

À Arles, la lumière est omniprésente, même dans les souterrains les plus sombres.
Les vieilles pierres aussi sont là. L’histoire d’une ville ne se résume pas uniquement à des monuments millénaires insatiablement photographiés par des touristes : quelques ombres, un rai de lumière, quelques morceaux d’amphores entassés peuvent vous transporter dans un autre monde, plus onirique peut-être, où vous pourriez croiser l’ombre d’un gladiateur ou d’un sénateur romain.
Photographies réalisées lors d'un stage des RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE d'Arles avec
Ambroize Tézenas.

clichés de Milos

Pas de Vénus.
Mais du blanc, du bleu, du vert, du rouge.
Et la lumière des Cyclades…
Assumer quand même la carte postale ?

défilés

Défiler pour, défiler contre.
Le manifestant arpente la rue, il faut qu’il existe, qu’il se montre.
Le photographe aussi arpente la rue, souvent en sens inverse du défilé et fait généralement beaucoup plus de kilomètres que le manifestant !
Même si elles sont toujours très photographiées, les manifestations apportent toujours leur lot d’insolite et d’inattendu.

des petits bouts d'Amérique

Ces petits bouts, c’est l’Amérique qu’on aime, les grands espaces, la démesure, le mélange des cultures, le côté enfantin.
Ces paysages façonnés ou sauvages ont quelque chose d’envoutant.
Parcourir les États unis, c’est toujours frayer avec l'maginaire.
Même si le « rêve américain » n’est qu’un rêve.